En fin de contrat au PSG, Kylian Mbappé a pris la décision de ne pas prolonger et donc de partir libre à l’issue de la saison. Officiellement, le Français ne rapportera donc rien au club de la capitale. Mais voilà qu’un accord aurait été trouvé entre Nasser Al-Khelaïfi et Mbappé afin que le PSG s’y retrouve financièrement. Un accord dont on ne connait pas grand chose, ce que n’apprécie pas David Ginola.
Après avoir couru tant d’années derrière Kylian Mbappé, le Real Madrid s’apprêterait à s’offrir ses services… pour 0€. En fin de contrat au PSG, l’international français va partir libre et aucune indemnité de transfert ne rentrera dans les caisses du club de la capitale. Mais en coulisses, cela serait plus complexe que cela. En effet, depuis l’été dernier, au moment de la réintégration de Mbappé au groupe de Luis Enrique, il est expliqué qu’un accord a été passé avec Nasser Al-Khelaïfi. Kylian Mbappé aurait alors accepté de renoncer à plusieurs millions d’euros de primes afin que le PSG puisse quelque peu s’y retrouver financièrement…
Le PSG a enfin tiré le gros lot ? https://t.co/9zujhWiSet pic.twitter.com/T9L2ssacVV
— le10sport (@le10sport) May 7, 2024
« Je pense qu’il devrait y avoir plus de clarté »
Pour Le Figaro, David Ginola a rebondi sur cet accord entre Nasser Al-Khelaïfi et Kylian Mbappé. Alors que tout cela est très flou, l’ancien joueur du PSG a poussé un coup de gueule : « Je pense qu’il devrait y avoir plus de clarté. Tout ce flou… Le football a bien changé. On est tellement dans une forme de proximité tout en étant hyper-distants des joueurs ».
« A notre époque, on était plus ouvert »
« Quand je vois les joueurs qui se parlent en mettant la main devant la bouche… Je n’incrimine pas les joueurs, je dis que tout ce qui a changé dans nos vies, pas seulement le foot, fait qu’on a perdu une forme de proximité. Mais je ferais la même chose si je jouais aujourd’hui. Je disais récemment que je n’aimerais pas jouer aujourd’hui, mais ce n’était pas sur le plan sportif ou financier, c’est que tu es de plus en plus isolé. Sans faire le vieux rabat-joie, à notre époque, on était plus ouvert », a ensuite ajouté David Ginola.