Cyclisme : Marion Rousse au micro ? Alaphilippe livre son verdict
Alexandre Higounet

Marion Rousse, en tant que consultante cyclisme sur France Télévisions, est amenée à régulièrement décrypter les mouvements de course de son compagnon Julian Alaphilippe. Mais que pense de son côté ce dernier de ses commentaires ? Il a eu l’occasion de livrer son verdict lors d’un entretien à Vélo Magazine.

En parallèle de la trajectoire sportive de son compagnon Julian Alaphilippe, Marion Rousse, ancienne championne cycliste elle-même, occupe également le devant de la scène, que ce soit comme directrice du Tour féminin ou comme consultante sur France Télévisions, où elle décrypte aux côtés de Laurent Jalabert les grandes courses du calendrier, à commencer bien sûr par le Tour de France.

« J’aime la manière dont elle bosse »

Dans son rôle de consultante, Marion Rousse a logiquement été amenée à régulièrement commenter ou analyser les mouvements de course de Julian Alaphilippe. Mais ce dernier a-t-il de son côté un avis sur les commentaires de sa compagne au micro ?

« Marion saisit l’importance des émotions dans le sport »

A l’occasion d’un entretien accordé au mensuel Vélo Magazine, le double champion du monde a livré son verdict sur les commentaires télévisuels de sa partenaire dans la vie : « Est-ce qu’on fait des débriefings ? Pas vraiment, mais je lui dis souvent qu’elle est top car c’est vrai. Ça m’arrive de rigoler avec elle quand elle fait une erreur de prononciation, mais c’est plus pour la charrier, parce que je suis moqueur et je le suis avec elle comme je peux l’être avec tout le monde. Ce n’est jamais méchant et elle fait très bien son travail. J’aime la manière dont elle bosse et j’aime encore plus la voir prendre du plaisir dans ce qu’elle fait. Elle s’investit de plus en plus dans le cyclisme féminin, c’est super pour elle et son implication est super pour le cyclisme féminin ». Toujours à l’occasion de cet entretien, Julian Alaphilippe est revenu sur le soutien dont il pouvait disposer auprès de sa compagne : « Dans les mauvais moments, quand ça ne va pas, elle sait qu’il faut du temps et peut-être qu’elle arrive plus facilement à prendre du recul grâce à son expérience du vélo, mais toutes les femmes de coureurs connaissent la dureté du métier, les sacrifices, les déplacements, les absences. Marion saisit l’importance des émotions dans le sport ».

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