Chelsea/PSG : La mesure radicale des Blues après les attentats à Charlie Hebdo !
La rédaction

Alors que les récents attentats à Paris ont ému le monde du football, Chelsea a pris les choses en main pour son prochain déplacement à Paris en Ligue des Champions…

Quelques jours après les tristes événements survenus à Paris (attentats meurtriers au siège de l’hebdomadaire satirique Charlie Hebdo, prise d’otage dans un supermarché à Vincennes), l’émotion est toujours grande, en France comme ailleurs. Comme bien d’autres, les acteurs du monde du football s’étaient d’ailleurs rapidement mobilisés pour condamner ces actes criminels. Après le deuil, se pose aujourd’hui la question des conséquences de ces événements…

DES GARDES DU CORPS SUPPLÉMENTAIRES POUR CHELSEA À PARIS !

Ainsi, la presse anglaise assure ce jeudi qu’en prévision de son déplacement à Paris dans le cadre des huitièmes de finale de Ligue des Champions le 17 février prochain (match retour programmé le 11 mars à Londres), le club de Chelsea a pris des mesures de sécurité en engageant des gardes du corps supplémentaires pour protéger ses joueurs lors de leur court séjour en France. « Ils ne prennent aucun risque. C’était presque inévitable après les horribles évènements. La sécurité des joueurs est la priorité numéro 1 du club », a déclaré une source au Sun, dans des propos relayés par le Daily Star.

GOMIS : « CE QU’IL S’EST PASSÉ M’A PROFONDÉMENT TOUCHÉ »

Alors qu’il avait récemment arboré un drapeau de la France après avoir marqué avec son club de Chelsea, Bafétimbi avait tenu à expliquer son geste. « Je me devais de marquer le but pour les Français. J'ai brandi le drapeau français après mon but, je voulais témoigner de ma peine et avoir une pensée pour la France. Ce qu’il s'est passé m'a profondément touché, il fallait prendre position, montrer l'exemple. Mes dirigeants m'ont soutenu, deux heures avant le match ils m'ont acheté un drapeau français. La France est un pays qui m'a beaucoup donnéLa France c'est plusieurs couleurs, religions et c'est comme ça qu'on l'aime, il faut rester unis ».

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