Real Madrid - Malaise : Quand Ancelotti justifie la mauvaise passe du Real…
La rédaction

Alors qu’il semblait invincible avant les fêtes de fin d’année, le Real Madrid vient d’enchaîner deux défaites en deux matchs… explications.

Dur d’être sous le feu des projecteurs. Quand tout va bien les compliments tombent, mais il suffit d’un petit hic pour que le ton change et qu’on se retrouve pointé du doigt. C’est ce qui se passe actuellement au Real Madrid, qui vient d’enchaîner deux défaites en moins d’une semaine face à Valence en Liga (1-2), et face au grand rival de l’Atlético Madrid en Copa del Rey (0-2). En 2014 tous louaient unanimement le travail de Carlo Ancelotti, désormais en 2015, le technicien italien est déjà remis en question.

« JE NE VOIS PAS DE PROBLÈME, MAIS… »

Quelques jours après la défaite face aux Colchoneros, Carlo Ancelotti a tenu à apporter quelques explications concernant le coup de mou de ses hommes. Les propos de l’Italien sont loin d’être alarmants, même s’il pointe du doigt un épuisement physique et mental qui guette ses joueurs. « Je ne vois pas un problème grave, mais nous devons absolument mettre fin au moment négatif par lequel nous passons » a assuré l’entraîneur du Real Madrid, dans des propos rapportés par l’Équipe. « Nous ne sommes pas dans une condition psychique optimale depuis notre retour de vacances. Il nous manque une certaine intensité dans ce domaine-là aussi ».

KROOS N’A PAS UNE SEULE MINUTE DE REPOS

Avec le championnat d’Espagne, la Ligue des champions et la Coupe du Roi, sans oublier le Mondial des clubs disputé du 10 au 20 décembre 2014 au Maroc, les joueurs du Real Madrid ont fort à faire. De plus avec le bon rendement de l’équipe avant Noël, Carlo Ancelotti a très peu fait tourner, ce qui a récemment fait avouer à Toni Kroos dans un magazine allemand qu’il n’avait pas une seule minute de repos dans la capitale espagnole. Ajoutez à cela la blessure de Luka Modric, un élément essentiel au milieu du terrain, ainsi qu’une légère polémique autour de Gareth Bale et vous aurez votre crise de janvier au sein de la Casa Blanca.