Real Madrid - Polémique : Statue, tag... La soeur de Cristiano Ronaldo s'emporte !
La rédaction

Alors que la statue de Cristiano Ronaldo a été taguée dans la nuit de lundi à mardi, la sœur de l’international portugais a vivement réagi après cette acte de vandalisme.

Décidément, rien ne va pour Cristiano Ronaldo. Après avoir vu Lionel Messi remporter son cinquième Ballon d’Or lundi soir, l’international portugais a vu sa statue, érigée sur son île de Madère, vandalisée dans la nuit suivante. On peut ainsi y voir le nom de Lionel Messi en peinture rouge, ainsi que son nom. Un acte que n’a pas du tout apprécié Katia Aveito, sœur de Cristiano Ronaldo.

« Je ressens de la honte »

« Vous savez tous que je suis la soeur de cet homme, et surtout combien je suis fière de l'être, et de connaître la personne merveilleuse qu'il est. Je pourrais passer des heures à essayer de déchiffrer tout acte de cette nature et la portée de celui-ci. Je ressens de la honte pour l'acte en lui-même, mais je me sens encore plus honteuse pour la jalousie qui existe autour de ça, la haine que certains entêtés, des personnes mal-aimées et frustrées, manifestent d'une manière faible. Cela m'embarrasse et me rend triste en tant que citoyenne portugaise », a tout d’abord expliqué la soeur de Cristiano Ronaldo via un communiqué officiel.

« Ils méritent de vivre en Syrie »

« Les personnes responsables de cela et d'autres choses négatives exprimées contre cet homme doivent savoir que notre île a été élue comme la meilleure dans le monde, pas pour notre belle mer, ni pour notre fine cuisine, ni pour la nature accueillante du peuple de Madère, même si c'est de moins en moins le cas avec le temps... mais en partie à grâce à ce grand homme de Madère qui continue d'honorer ses origines. Ma belle île, malheureusement, est encore habitée par quelques sauvages frustrés qui méritent de vivre en Syrie, des personnes qui ne montrent aucun respect et n'ont aucune valeur pour la vie en société. Je suis désolé pour ceux qui vivent de la tristesse de la guerre, mais je crois que certaines personnes ne font pas partie du pays où ils vivent », a-t-elle conclue.

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