L’Arabie Saoudite reçoit un message, la vente de l’OM relancée ?
Dan Marciano -
Rédacteur
Titulaire d'un Master de droit international, je me suis rendu compte au bout de mon parcours universitaire qu'il était important d'évoluer dans un domaine que l'on apprécie. Du jour au lendemain, j'ai décidé de mettre fin au rêve de mes parents, qui voyaient en moi un futur avocat, pour vivre de ma passion : le sport. Depuis, je couvre les mercatos et l'actualité sportive en essayant d'informer au mieux les lecteurs.

Après Newcastle, l'Arabie Saoudite aurait des vues sur l'OM. Le PIF, le fonds d'investissement saoudien, pourrait prochainement mettre la main sur le club marseillais, détenu par Frank McCourt depuis l'automne 2016. Mais ancien de l'ASSE, Bafétimbi Gomis pourrait bien relancer ce dossier en attirant ces investisseurs vers l'ASSE, en vente depuis plus de deux ans.

Journaliste pour le média Al Yaum, Eid Al Misehal a lâché une information capitale sur l'OM. Le PIF, le fonds d'investissement saoudien, aurait pour priorité de mettre la main sur un club européen et la formation française serait en haut de la liste. Mais selon Bafétimbi Gomis, passé par Al-Hilal, l'Arabie Saoudite doit s'intéresser à l'ASSE.

« Ce serait bien de passer par une vente »

« Le football a changé, on le voit aussi à Lyon où le président Aulas a été obligé de vendre. Aujourd’hui, Saint-Étienne doit franchir un palier. Avec les sommes astronomiques qu’il faut pour acquérir un joueur, ce serait bien de passer par une vente. Maintenant, je ne sais pas où ça en est. Je sais que Roland (Romeyer) prendra toujours la bonne décision pour l’ASSE » a confié Gomis au Progrès. Selon lui, la vente de l'ASSE est primordiale.

Gomis interpelle ses amis du Golfe

« Parfois, il veut bien faire, il est maladroit mais son amour pour le club est vrai et sincère. Roland a fait son temps mais il a bien géré le club, notamment en injectant de l’argent avec la Sacma. Il a plus fait de bien que de mal au club. Jouer un rôle à l’ASSE en cas de rachat ? Pourquoi pas ! Souvent, j'en parle dans les pays du Golfe, où j’ai pas mal d’amis. S’il y a un club à acheter, je leur dis que ça peut être Saint-Étienne. Le club et la ville en ont besoin. J’aimerais bien un jour qu’un de mes amis rachète l’ASSE » a-t-il confié.

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