Le PSG a vécu un cauchemar, son bourreau jubile
Thomas Bourseau

Le PSG a été battu par un de ses titis parisiens. En finale de Ligue des champions en 2020, Kingsley Coman a marqué l’unique but de cette rencontre, en faveur du Bayern Munich, privant le Paris Saint-Germain du Graal européen. Pour Canal+, Kingsley Coman a exulté trois ans après. 

Kingsley Coman a effectué ses classes au PSG pendant 10 ans, 9 au sein des équipes de jeunes et une seule pige chez les professionnels. Et alors que le Paris Saint-Germain était à deux doigts de mettre la main sur la première Ligue des champions de son histoire en août 2020 pendant le Final 8 de Lisbonne, Coman a été le sauveur du Bayern Munich en inscrivant le but vainqueur en finale face au PSG (1-0).

« C’est une sensation extraordinaire»

Invité à s’exprimer une nouvelle fois sur cet épisode marquant de sa carrière de joueur pour l’émission En Aparté diffusée sur Canal+, Kingsley Coman a vidé son sac. « C’est extraordinaire. C’est une sensation extraordinaire. C’est vraiment la compétition ultime en club. L’une des compétitions les plus dures à gagner. Être tout en haut de l’Europe à ce moment-là, c’est vraiment une consécration. Tout le travail, pas juste durant la saison, mais durant les années, tous les sacrifices qu’on a faits, tous les moments difficiles, les blessures… C’est pour ce genre de moment. Quand ça arrive, c’est magnifique, et on sait que ça n’arrive pas souvent dans la carrière. Donc on profite au maximum. Malheureusement, on devient accroc à ce genre de sensation, on veut vraiment les revivre. Ça donne une motivation supplémentaire au quotidien ».

«Le PSG ? Ma tenue est rouge, mon cœur est rouge et il n’y a rien d’autre qui compte»

Relancé par Nathalie Levy, journaliste de Canal+ et voix off de l’émission En Aparté, à propos d’une éventuelle pensée envers son club formateur du PSG au moment de marquer et de célébrer la victoire du Bayern Munich, Kingsley Coman n’a pas fait de langue de bois. « À ce moment-là, pas du tout ! À ce moment-là, ma tenue est rouge, mon cœur est rouge et il n’y a rien d’autre qui compte ». 

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