Le PSG est victime d’un énorme complot
Jules Kutos-Bertin -
Journaliste
Tout petit, je m’étais promis d’avoir un métier en accord avec le football. Très vite, j’ai pris conscience que mes pieds ne suffiraient pas pour m’emmener là où je le voulais alors le journalisme est devenu une évidence.

Humilié devant toute l’Europe en 2017 après sa défaite 6-1 contre le FC Barcelone, le PSG n’a jamais vraiment digéré. Il faut dire que les décisions arbitrales de ce match avaient fait parler. Sept ans plus tard, un rapport rédigé par José Enríquez Negreira vient confirmer que Deniz Aytekin, l’arbitre de la rencontre, a fait plusieurs erreurs grossières.

Tous les supporters du PSG n’oublieront jamais ce célèbre 8 mars 2017. Opposé au FC Barcelone en huitième de finale de la Ligue des Champions, le club de la capitale réalise un match historique au Parc des Princes et l’emporte 4-0. Selon les statistiques, le PSG a… 0% de chance de se faire éliminer. Mais pourtant… Porté par un Camp Nou en furie, le FC Barcelone refait son retard avec notamment trois buts dans les sept dernières minutes. Le terme « remontada » fait son apparition et il ne quittera plus jamais le vocabulaire footballistique. Le PSG peut témoigner.

Des décision arbitrales qui font parler

Le problème dans cette élimination, au-delà de l’humiliation subie par Paris, ce sont les décisions arbitrales. Ce soir-là, Deniz Aytekin, l’arbitre allemand de la rencontre, fait plusieurs choix très contestables, notamment dans les dernières minutes. Le pénalty obtenu par Luis Suarez ou encore la faute non sifflée sur Angel Di Maria, le PSG est loin d’avoir été verni. Six ans plus tard, cette affaire fait son retour au cœur des débats.  

Un rapport reconnaît les erreurs de l’arbitre

Comme le rapporta la Cope, un rapport rédigé par José Enríquez Negreira, l’ancien président de la commission technique, reconnaît qu’il y a bien eu plusieurs erreurs d’arbitrage lors du match retour entre le FC Barcelone et le PSG. Ce nouveau rebondissement fait suite à « l’affaire Negreira » qui agite le club catalan depuis plusieurs semaines, visé pour « corruption », « abus de confiance » et « faux en écritures de commerce ». Ce rapport met justement en avant les situations de fin de match où Luis Suarez a obtenu un pénalty très généreux et celui non sifflé sur Angel Di Maria, pourtant victime d'un tacle très limite de Javier Mascherano. Pas certain que cette information ne vienne apaiser la peine des supporters du PSG

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