PSG : «Des pleureuses», Neymar et Messi se font tacler
Thomas Bourseau

Lionel Messi avait ouvert le bal dès le mois de juin avec une interview pour Mundo Deportivo en vidant son sac sur son mal-être au PSG avant d’en remettre une couche plus récemment. Neymar s’est lui aussi plaint du traitement qui lui a été réservé en qualifiant d’enfer sa fin à Paris. Robert Pirès n’a pas mâché ses mots concernant cette situation en s’en prenant à Neymar et Messi.

Le trio d’attaque Kylian Mbappé, Neymar et Lionel Messi n’aura duré que deux saisons au PSG. Néanmoins, Messi a été considérablement pris en grippe par les supporters du Paris Saint-Germain au fil des matchs, résultant sur une fin d’aventure très crispée entre Messi et le PSG. L’Argentin n’a cessé de dire depuis son départ qu’il avait été malheureux à Paris pendant ces deux années.

Après Messi, Neymar règle à son tour ses comptes avec le PSG

Pour Neymar, le verdict a été le même que Lionel Messi sur la fin de son histoire de six saisons au PSG. Pour Globo Esporte, Neymar a notamment évoqué un enfer à Paris. « Il est allé au paradis avec l'équipe nationale argentine, il a tout gagné ces dernières années, et avec Paris il a connu l'enfer. Nous avons vécu un enfer, lui et moi. On est fâchés ». Le PSG n’a pas laissé passer ça puisqu’une source interne au club a confié à L’Equipe que les deux joueurs voulaient « curieusement » rester au PSG malgré les critiques publiques envers le Paris Saint-Germain.

«Je les appelle des pleureuses»

Sur les antennes de Canal+, Robert Pirès a très peu goûté aux déclarations de Lionel Messi et de Neymar, au point de les qualifier de « pleureuses ». La légende d’Arsenal a sorti les gants. « Je les appelle des pleureuses. On est un joueur professionnel et on doit savoir gérer la pression. Quand on est bon, on est content d'être félicité et quand on n'est pas bon, ça fait partie du jeu. Nous avons tous été critiqués, moi y compris. Quand je suis arrivé à Arsenal, les gens disaient : "Qui est-ce ? Il est là pour remplacer Marc Overmars, il est nul'. J'ai continué à travailler et ça a fini par payer ».

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