PSG : Il veut mettre fin au rêve du Qatar
Bernard Colas -
Journaliste
Passionné de sport, de cinéma et de télévision (à l’écran comme derrière) depuis son enfance, Bernard est journaliste pour le 10 Sport depuis 2018. Plus habile clavier en main que ballon au pied, il décide de couvrir principalement un sport adulé, critiqué et détesté à la fois (le football) et un sport qui n’en est pas un (le catch).

Quatre années après sa défaite en finale face au Bayern Munich, le PSG peut de nouveau croire en son rêve de remporter la Ligue des champions, grand objectif des Qataris depuis leur arrivée dans la capitale. L’équipe de Luis Enrique a hérité du Borussia Dortmund en demi, un adversaire à la portée des Parisiens qui entend toutefois leur poser des problèmes.

Après avoir renversé le FC Barcelone, le PSG a rendez-vous avec le Borussia Dortmund en demi-finale de la Ligue des champions. Quatre ans après avoir été proche de dérocher sa première C1, grand objectif affiché des Qataris dès leur arrivée, le club de la capitale a de nouveau l’occasion de se hisser en finale. Il faudra pour cela se défaire du BVB, bien décidé à faire chuter le favori.

« Nous avons peut-être plus faim »

L’entraîneur du BVB croit en son équipe. « En 180 minutes, tout est possible pour nous, a confié Edin Terzic ce mardi en conférence de presse, relayé par RMC. Je ne sais pas si nous étions les favoris du groupe. C'est peut-être nous qui avons le moins d'expérience en tant qu'équipe, mais nous avons peut-être plus faim. Nous devons profiter de cet avantage pour nous. »

« Nous avons une chance »

« Nous devons nous préparer à tout, avoir un plan clair, poursuit le technicien du BVB. Mais nous ne devons pas surcoacher les choses, nous devons avoir confiance en nos forces. Si nous les attaquons haut et mettons de la vitesse dans notre jeu, nous avons une chance. L’objectif, c’est de se créer un petit avantage en vue du match retour. L’idée est d’avoir deux matchs serrés. Il ne faut pas se focaliser sur un ou deux joueurs. Il faut se focaliser sur le ballon, si on l’a, eux ne l’ont pas, c’est la clé ».

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