PSG : Le pronostic de Laurent Blanc sur le nombre de buts qu’inscrira Cavani cette saison !
La rédaction

Alors qu’Edinson Cavani a inscrit un doublé ce week-end, Laurent Blanc a lancé un petit pari sur le nombre de buts de l’Uruguayen en fin de saison.

« Il y a bien sûr Cavani. Le héros d'une partie des supporters parisiens reste pour moi une énigme complète. À part être hors-jeu, il ne sert à rien. Il ne réussit pas une passe, pas un contrôle, rien. Il vient de disputer trois matchs en l'absence de Zlatan, supposé être responsable de tous ses maux. Qu'a-t-il prouvé ? Rien » avait récemment déclaré Pierre Ménès au sujet d’Edinson Cavani. Et si le consultant de Canal + n’est pas du tout convaincu par l’international uruguayen, son entraineur au Paris Saint-Germain, Laurent Blanc, n’est pas du tout du même avis.

« C’EST UN GARÇON À 30 BUTS PAR SAISON »

Dans une interview accordée à Stade Bleu, une émission radio de France Bleu, Laurent Blanc s’est exprimé sur les qualités d’Edinson Cavani et ses statistiques depuis qu’il est au Paris Saint-Germain : « Moi je pense que c'est un buteur avec des caractéristiques différentes des renards de surface : c'est un garçon qui a besoin de courir, de défendre, d'aller à droite, à gauche... Il l'a toujours fait que ce soit avec ses clubs passés ou avec l'Uruguay. Et il fait très bien au PSG. Et Cavani c'est aussi des statistiques : la saison passée, il finit meilleur buteur du club (31 buts). Je vous parie qu'à la fin de cette saison, il aura encore marqué ses 30 buts. C'est un garçon à 30 buts par saison » a-t-il déclaré.

« L’ÉQUIPE A TRÈS BIEN JOUÉ »

Après la victoire du Paris Saint-Germain contre l’AS Monaco, Edinson, auteur d’un doublé, est revenu sur la performance de son équipe : « L’équipe a très bien joué. Cela faisait des années que le PSG n’avait pas gagné à Monaco. Il fallait pousser pour changer l’histoire et gagner. On sait qu’il reste encore beaucoup de matches à jouer, il faut continuer comme ça. On travaille pour gagner, on ne connait pas l’avenir. En première période, on n’a pas réussi à concrétiser nos occasions. Mais en deuxième période, on a mieux joué et on a réussi à transformer nos occasions. »

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