PSG : Mbappé lui a fait vivre un enfer !
La rédaction

Pour sa dernière saison en Ligue 1, Kylian Mbappé aura encore réussi à terminer en tête du classement des buteurs. En 29 rencontres, le joueur du PSG est parvenu à faire trembler les filets à 27 reprises. Souvent considéré comme la menace numéro une par les adversaires du club parisien, le Bondynois a reçu les louanges de Jean-Pierre Caillot, président du Stade de Reims, qui a témoigné des rencontres entre son écurie et l’ancien joueur de l’AS Monaco.

Beaucoup de supporters du PSG doivent appréhender son départ. Après sept saisons passées du côté de la capitale, Kylian Mbappé va s'en aller chasser d’autres défis. SI il n’a pas encore annoncé sa destination, nul doute que le capitaine de l’équipe de France devrait rejoindre le Real Madrid et ainsi tenter d’aller chercher le pichichi. Quoiqu’il en soit, l’attaquant de 25 ans aura fait mal aux défenses de l'hexagone, aussi bien sous le maillot parisien que monégasque. Jean-Pierre Caillot, président du Stade de Reims, a pu en témoigner dans un entretien accordée au Parisien.

«Même quand il est un peu moins visible, il reste […] l’homme à surveiller»

Pour Jean-Pierre Caillot, le constat est clair. Kylian Mbappé est une menace permanente pour l’équipe qui doit l’affronter et tenter de le contenir : « Il a toujours été un acteur des rencontres face à nous. Même quand il est un peu moins visible, il reste pour l’adversaire l’homme à surveiller comme le lait sur le feu.» a d’abord déclaré le président rémois.

«C’est l’apanage des grands joueurs»

Alors que de nombreux observateurs attendent de voir Kylian Mbappé évoluer au Real Madrid et ainsi devenir une star parmi les stars, Jean-Pierre Caillot ne se fait pas de soucis pour lui. L’homme de 62 ans s’est fendu d’une anecdote lors d’une rencontre face au Bondynois, témoignant de son talent : « Le dernier exemple que j’ai, c’est lorsque Paris est venu à Reims cette saison. Il sortait d’un match de Coupe d’Europe, où manifestement il n’avait pas été très visible (défaite 2-1 à Milan) et chez nous il n’avait pas été très visible non plus. On l’a vu trois fois et il a mis trois buts. La quatrième fois, il a trouvé la barre. C’est l’apanage des grands joueurs. Quand on fait 2-2 au Parc, il ne joue que 15 minutes et l’année où on gagne chez eux (2-0, le 25 septembre 2019), il n’est pas là non plus. »

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