PSG : Pierre Ménès réagit aux propos de Thiago Silva !
La rédaction

Alors que Thiago Silva s’est défendu d’avoir la tête déjà tournée vers la prochaine Coupe du monde, en assurant être uniquement concentré sur le PSG, Pierre Ménès y est allé de son petit commentaire.

Deux défaites consécutives. Les derniers revers face à Chelsea en Ligue des Champions et face à l’OL en Ligue 1 ont fait mal au champion de France. Des contre performances dans lesquelles les prestations du capitaine brésilien Thiago Silva ont été plus que décevantes. Apparu apathique sur la pelouse de Gerland, le défenseur central a été accusé par certains d’avoir déjà la tête tournée vers la prochaine Coupe du monde. Des critiques auxquelles n’a pas manqué de répondre le joueur en conférence de presse vendredi.

« JE VEUX CLARIFIER LES CHOSES : MA TÊTE EST AU PSG »

« Le Mondial ? Bien sûr que j’y pense, j’y pense tous les jours, j’essaie de ne pas me blesser. Mais ma tête est au PSG, jusqu’à la fin de la saison c’est la priorité. Il y a eu des rumeurs après la défaite à Chelsea, comme quoi j’aurais la tête ailleurs… Je pense que si on avait gagné, cela aurait été différent. On aurait mis la pression sur les joueurs de Chelsea. C’est une pression qui est normale, parfois les gens parlent sans réfléchir. Je veux clarifier les choses : ma tête est au PSG, j’ai envie d’atteindre tous les objectifs de la saison, et en suite je penserai au Mondial », a ainsi conclu Thiago Silva.

« NIVEAU PROFESSIONALISME, C’EST QUAND MÊME MOYEN »

Sur son compte Twitter, Pierre Ménès y est allé de son petit mot : « C’est sûr, il ne va pas dire : "Je pense qu’au Mondial". Mais regarde ses matchs depuis Lorient… » Une déclaration qui vient s’ajouter à son dernier tacle envers le Brésilien. « Au PSG, les prestations de Thiago Silva sont, elles aussi, pour le moins suspectes. Le défenseur brésilien marche et bougonne depuis plusieurs matchs, sa fracture du zygomatique lui ayant définitivement indiqué le sens de ses priorités. (…) On surveillera le niveau de jeu de ces joueurs, et d’autres encore, pendant le Mondial brésilien. Parce que niveau professionnalisme, c’est quand même moyen. N’oublions pas les clubs qui les payent, très cher, en attendant. Et qui sont un peu cocus, du coup. »

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