Manchester United/Chelsea : Mourinho tacle une nouvelle fois l’un de ses anciens cadres !
La rédaction

Depuis quelques jours, José Mourinho et Juan Mata se livrent une bataille dans les médias. Le Portugais vient d’ailleurs d’adresser un nouveau tacle au joueur de Manchester United.

« Pour le meilleur ou pour le pire, nous n’avions pas la moindre relation, il n’y avait aucun dialogue. Je n’étais pas heureux, mais j’ai toujours donné le meilleur de moi-même » a récemment déclaré Juan Mata. Des déclarations qui ne semblent pas avoir plu à Mourinho qui a tenu à répondre à son ancien joueur qu'il retrouvera dimanche, lors du choc entre Manchester United et Chelsea.

« PAS UN JOUEUR SPÉCIAL »

En conférence de presse, relayé par le Daily Star, José Mourinho s’est donc une nouvelle fois exprimé sur Juan Mata. Concernant l’ancien de Valence, l’entraineur a ainsi déclaré : « Pour moi, Juan est un très bon joueur et je le regarde comme un très bon joueur. Je ne le regarde pas comme un joueur spécial en raison de certaines circonstances. Si je le faisais, il y aurait eu 20, 30, 40 joueurs que nous avons vendu ou qui ont décidé de partir. Cela arrive. Ce n’est pas un problème pour moi. C’est un très bon joueur et les très bons joueurs sont dangereux ».

« SI UNITED VOUS OFFRE UNE IMPORTANTE SOMME D’ARGENT … »

Il y a quelques jours, Mourinho avait commencé cette bataille entre les deux hommes. Dans une interview accordée à la presse britannique, il avait justifié la vente de l’Espagnol à Manchester United : « Avec ces joueurs qui ne sont pas fondamentaux pour moi, c’est là que le club doit faire tout son possible pour me venir en aide. Est-ce que c’est facile quand on parle de très bons joueurs ? Non, ce n’est pas facile. Par exemple, Juan Mata à Manchester United. Nous perdons un très bon joueur au profit d’un concurrent direct. Est-ce que cela se serait passé comme ça il y a 10 ans ? Probablement pas. Mais dans le football moderne et avec la nouvelle réalité économique, si Manchester United vous offre une importante somme d’argent, vous devez le laisser partir ». 

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