Arsène Wenger n’en est plus à son coup d’essai sur le banc d’Arsenal. Alors qu’il parvient à attirer de très bons joueurs pour la seconde saison d’affilée, le manager des Gunners s’est livré sans langue de bois à propos du mercato de l’été dernier.
On lui a très souvent reproché de ne pas pouvoir acheter de grands joueurs. Depuis la saison passée, Arsène Wenger a entendu le message de ses supporters et incité ses dirigeants à mettre la main à la poche sur les marchés des transferts. Après Mezut Özil, Alexis Sanchez et Danny Welbeck sont arrivés à Londres l’été dernier.
« ALEXIS, ÇA S’EST FAIT RAPIDEMENT »
Invité à s’exprimer sur les transactions réalisées durant le dernier marché des transferts sur le plateau de beIN SPORTS, Arsène Wenger s’est confié sur les arrivées d’Alexis Sanchez et de Danny Welbeck. Concerant le Chilien, actuellement meilleur buteur des Gunners avec 11 buts en 14 rencontres disputées, Wenger a indiqué : « J’ai rencontré ses agents au Brésil et ensuite on a pu négocier avec le Barça. Le prix était très élevé, ça fait seulement deux ans que nous pouvons à nouveau dépenser de l’argent. Ça s’est fait rapidement. »
« WELBECK, UN PROFIL SIMILAIRE À THIERRY HENRY »
Également débarqué cet été, mais en provenance de Manchester United, Arsène Wenger est satisfait des capacités que présente l’Anglais, Danny Welbeck : « C’est un joueur qui peut occuper plusieurs positions. Il a un profil similaire à celui de Thierry Henry. Il est jeune, il peut marquer des buts et je pensais qu’il pouvait réussir dans l’axe. » Un peu moins intéressant pour Wenger, le départ de son ancien défenseur central, Thomas Vermaelen, dont la condition physique ne permettait pas à Wenger d’être certain qu’il joue : « Le problème du foot d’aujourd’hui, c’est que vous ne pouvez pas garder des joueurs qui ne jouent pas. Le Barça lui a donné cette occasion. Il n’a pas beaucoup joué chez nous, il s’est comporté de façon remarquable, il a un mental fantastique. Il voulait avoir l’opportunité de jouer quelque part et c’est pour ça que je l’ai laissé partir. »