Mercato - AS Monaco : Ce détail qui rassure Claudio Ranieri sur son avenir…
La rédaction

Alors que l’avenir de Claudio Ranieri s’inscrit en pointillés du côté de l’AS Monaco, l’entraîneur italien s’est montré relativement serein en conférence de presse…

Entraîneur passé notamment par l’AS Rome, Chelsea, l’Inter Milan ou encore la Juventus Turin, Claudio Ranieri a pris en main la destinée de l’AS Monaco à l’été 2012, alors que le club évoluait à l’époque en Ligue 2. Sacré champion de Ligue 2 cette année et bien parti pour terminer cette saison à la deuxième place de la Ligue 1 derrière le PSG, l’entraîneur monégasque n’est pourtant pas assuré de garder sa place l’an prochain, son statut s’étant encore plus fragilisé depuis la défaite surprise de l’AS Monaco en demi-finale de la Coupe de France à Guingamp (3-1 après prolongation).

« MON PRÉSIDENT EST QUELQU’UN DE TRÈS INTELLIGENT »

Interrogé en conférence de presse sur son avenir, l’entraîneur italien a révélé être confiant pour la simple et bonne raison que son président, Dmitry Rybolovlev, est quelqu’un… « d’intelligent ». « Il n'est pas possible qu'une seule défaite fragilise. Et mon président est quelqu'un de très intelligent. Mon avenir ? Il est normal d'en entendre plus parler que du jeu. C'est comme au PSG, qui a fait un grand championnat, une grande Ligue des champions. Et pourtant, on évoque l'avenir de Laurent Blanc. On se demande si ça va changer, c'est normal. C'est le milieu du football. Ce n'est pas un problème. Le problème, c'est le prochain match et se concentrer dessus », a-t-il déclaré.

DI MECO : « RANIERI EST EN SURSIS DEPUIS UN AN »

Pour le consultant Éric Di Meco le coach italien a toujours été menacé. « Ranieri, depuis le début de la saison, est en sursis. Il faut se souvenir qu’on n’était pas sûr qu’il entraine l’ASM en Ligue 1. Il est là aujourd’hui et bravo pour ce qu’il a fait. En plus, c’est un coach qui maitrise les médias. Il dit les choses. Son équipe a bien joué. Mais il est en sursis depuis un an. C’est comme quand les Qataris sont arrivés à Paris, Kombouaré était en sursis, il a duré six mois… », a-t-il lancé au micro de RMC.

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