Mercato - ASSE : Ruffier doit-il quitter les Verts ?
La rédaction

Stéphane Ruffier est l’un des cadres de l’ASSE depuis son arrivée lors de l’été 2011. Toutefois, il pourrait quitter le club stéphanois prochainement.

Solide et régulier dans les buts stéphanois depuis son arrivée en 2011, Stéphane Ruffier arrive à une période charnière. Le natif de Bayonne, âgé de 27 ans, est sous contrat dans le Forez jusqu’en juin 2015. En privé, comme révélé par le 10 Sport, il ne cache pas son souhait de vivre une nouvelle aventure pour se rapprocher de l’équipe de France. À dix-huit mois du terme de son contrat, il doit faire un choix. L’ASSE, elle, ne compte pas le laisser filer libre en 2015. Doit-il prolonger ou partir ?

Pourquoi il doit rester

L’objectif de Stéphane Ruffier est d’être un membre régulier du groupe France mais aussi de disputer la Ligue des champions. Or, Saint-Étienne, à moyen terme, a de l’ambition. L’ASSE compte bien être un membre permanent du Top 5 de Ligue 1 à partir de la livraison de son stade, lors de l’été 2014. Par ailleurs, Josuha Guilavogui a été sélectionné en équipe de France lorsqu’il jouait à Saint-Étienne. Ce n’est pas un frein pour le sélectionneur. Stéphane Ruffier a également une place de titulaire assurée à l’ASSE, où il est l’un des cadres. Ce ne sera pas forcément le cas dans un club plus « huppé » à l’étranger.

Pourquoi il doit partir

Sous contrat jusqu’en juin 2015, Stéphane Ruffier a déjà laissé la porte ouverte à un départ lors des précédents mercato. L’ASSE est toujours restée inflexible jusqu’à présent mais la situation pourrait évoluer, principalement car Ruffier s’approche du terme de son contrat. Le gardien de l’ASSE n’a jamais caché son envie d’évoluer dans un grand club étranger, de tenter un nouveau challenge pour continuer sa progression et ne pas « stagner » à l’ASSE. À 27 ans, il est peut-être temps pour lui de sauter le pas. Surtout que l’intérêt de plusieurs grands clubs italiens (AS Rome, Milan AC), français (AS Monaco) et de certains clubs espagnols (FC Valence) est bien réel. Le train ne passe pas toujours deux fois.

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