Alors que la situation de Bacary Sagna est toujours aussi flou, le PSG et l’AS Monaco vont devoir affronter un obstacle de plus s’ils veulent attirer le joueur…
Présent à Arsenal depuis 2007, Bacary Sagna fait aujourd’hui figure d’ancien au sein du vestiaire des Gunners, lui qui dispute en ce moment sa 7e saison sous les ordres d’Arsène Wenger. L’arrière latéral français ne sait pourtant pas de quoi son avenir sera fait, lui qui arrive en fin de contrat en juin prochain. Si ses prestations ne sont pas sujettes à la critique cette saison, c’est plutôt le décalage entre les demandes du joueur et ce que son club serait prêt à lui offrir qui bloquerait une éventuelle prolongation de contrat.
« SAGNA ET SA FEMME VEULENT RESTER À LONDRES »
Mis au courant de la situation, le PSG, l’AS Monaco ou encore l’Inter Milan envisageraient la possibilité de faire signer l’international français (38 sélections) gratuitement cet été. Problème, à en croire le club nerazzurro, l’ancien Auxerrois aimerait rester à Londres, comme l’indique le Daily Mail qui s’appuie sur une source proche du club italien. « L’impression qui est ressortie des discussions est que Sagna et sa femme sont installées à Londres et veulent y rester. Il espère qu’Arsenal reviendra avec une offre acceptable, mais il y a aussi un intérêt d’autres clubs de Premier League. On entend notamment Chelsea et Tottenham », aurait confié cette source au journal britannique.
L’INTER MILAN DÉMENT POUR SAGNA
Alors qu’on disait le club d’Erick Thohir intéressé par le profil du défenseur des Gunners, l’Inter a néanmoins tenu à calmer le jeu hier au sujet d’un éventuel recrutement de Sagna. « Il n’y a pas la moindre connexion entre mes voyages en Angleterre et un éventuel intérêt pour Bacary Sagna, et c’est la même chose pour Edin Dzeko. J’ai l’opportunité de voyager quand nous n’avons pas de matches pendant la semaine. C’est une opportunité de développer des relations en étant au contact d’autres gens du métier », a ainsi lancé Piero Ausilio, directeur sportif du club, dans des propos relayés par le London Evening Standard.