Mercato - Chelsea : Un malaise dans le dossier Dimitri Payet ?
La rédaction

Depuis son arrivée à West Ham, l’été dernier, Dimitri Payet a littéralement explosé. L’ancien de l’OM fait partie des meilleurs joueurs de Premier League et a naturellement tapé dans l’œil des plus grands clubs d’outre-Manche.

En France on connaissait déjà son talent. Désormais, l’Angleterre a découvert Dimitri Payet. Arrivé à West Ham l’été dernier en provenance de l’OM, pour près de 15M€, l’international tricolore est tout bonnement éblouissant. Les observateurs de Premier League ne tarissent pas d’éloges à son égard et les plus grands clubs du championnat, comme Chelsea ou Manchester United, lorgneraient désormais sur lui. Pourtant, son club aimerait le garder et l’entourage du joueur aurait entamé les discussions pour une revalorisation salariale.

« Payet ? Le club n’est pas content du tout ! »

Les Hammers veulent garder Dimitri Payet… Mais pas à n’importe quel prix. À en croire les informations du Daily Star, les agissements de l’agent du Français auraient agacé les dirigeants de West Ham. Celui-ci aurait en effet demandé un salaire de 645 631€ par mois au club, soit quasiment le double de ce qu’il gagne actuellement. « C’est impensable que l’agent d’un joueur demande une revalorisation salariale, alors que son joueur est au club depuis seulement six mois » aurait expliqué une source proche du club, au quotidien britannique. « Le club n’est pas content du tout ! ». Chelsea et Manchester United seraient prêts à sauter sur l’occasion, si jamais il y avait de l’eau dans le gaz entre les deux parties.

« Beaucoup ont jugé mon choix… »

Dimanche dernier, Dimitri Payet était revenu sur son arrivée à West Ham et son départ de l’OM, l’été dernier. « Beaucoup de gens avaient jugé mon choix comme étant financier » avait expliqué le Français. « Je pense qu’il y a un décalage entre le Dimitri français et le Dimitri d’aujourd’hui, sauf sur la dernière saison à l’OM, où on a peut-être commencé à se rendre compte de ce que j’étais capable de faire. J’étais content de montrer aux gens que ce n’était pas un choix par défaut, mais un vrai choix de carrière ».

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