Approché par Manchester City, Mehdi Benatia ne sait toujours pas de quoi son avenir sera fait. La Roma aurait fixé une date limite aux Citizens pour soumettre une offre dans l'optique de le recruter. Ce serait le 21 juillet selon la presse.
Il y aurait comme un problème pour Mehdi Benatia. Convoité notamment par les deux clubs de Manchester et le Bayern Munich, le Marocain attendrait toujours de se voir proposer par la Roma une prolongation de contrat avec une nette revalorisation salariale (ndlr : la somme de 4 millions d'euros par an). Désireux d'obtenir gain de cause, le Marocain ne bougerait pas d'un iota sur sa position. Oui mais voilà : la Roma s'impatienterait et l'aurait fait savoir ouvertement à son plus sérieux prétendant.
Mercato - Manchester City/Chelsea : Ça se précise pour Mehdi Benatia !
LE 21 JUILLET, DATE LIMITE POUR RECRUTER BENATIA ?A en croire le , qui relaie l'information sur son site internet mercredi, l'AS Rome compterait en finir et vite avec le dossier Benatia. D'après les indiscrétions du tabloïd britannique, la Louve aurait donné jusqu'au 21 juillet à Manchester City pour recruter le Marocain. Pas un jour de plus. Une fois ce délai écoulé, Benatia sera intransférable. Du côté des Citizens, tout dépendrait surtout d'Eliaquim Mangala, les Citizens attendant toujours son accord pour officialiser le transfert.
« ON M'A TRAITÉ COMME UN ENFANT »
Invité il y a peu à s'exprimer sur son avenir personnel, Mehdi Benatia avait confié avoir été trompé par l'AS Rome. « Je n’ai jamais dit que je voulais m’en aller de la Roma, mais il y a un an, j’avais renoncé à de l’argent pour prendre part au projet, avait-il déclaré. Il y avait un accord, la Roma m’a dit avant de me signer : "Bena, nous savons que tu mérites plus et que tu as refusé beaucoup d’argent. Viens, montre que tu es un Romain et si nous allons en Ligue des Champions ou que nous gagnons le Scudetto, nous te ferons un beau contrat." Mais j’ai reçu une offre inacceptable. J’ai entendu que j’aurais demandé 4 millions par an, je ne suis même pas arrivé à 3. On m’a traité comme un enfant. »