Mercato - OM : Cet ancien président de l’OM qui valide le choix de Valbuena !
La rédaction

Officialisé samedi, le transfert de Mathieu Valbuena a énormément fait réagir, notamment un de ses anciens dirigeants, Jean-Claude Dassier.

Alors que Mathieu Valbuena était l’un des cadres de Marseille, l’international français a finalement décidé de quitter le club pour s’exiler en Russie, du côté du Dynamo Moscou. Un transfert qui fait beaucoup parler. Dans les colonnes de La Provence, Jean-Claude Dassier a tenu à revenir sur ce départ déclarant notamment que « c’est courageux de sa part ».

« JE PENSE QU’IL A FAIT LE BON CHOIX »

En décidant de s’exiler dans le championnat russe, Mathieu Valbuena a déçu quelques personnes. Si Jean-Claude Dassier, ancien président de l’OM s’est montré un peu déçu, il comprend néanmoins son choix : « Je pense qu’il fait le bon choix. Ça ne peut pas être l’homme d’un seul club, ou de deux. Avec son talent, il a besoin d’aller prouver qu’il a la capacité d’aider un grand club comme le Dynamo Moscou. Il a le bon âge pour tenter l’aventure. Évidemment, j’aurais préféré pour lui qu’il aille dans un club anglais, dans un championnat avec un peu plus de difficultés, c’est vrai. C’est courageux de sa part. Je pense que ça va lui faire du bien de respirer un autre air. Il va s’endurcir, voir d’autres horizons, découvrir une autre façon de vivre en communauté ».

« QUAND ON EST FOOTBALLEUR, IL FAUT ACCUMULER UN PEU DE GAINS »

Dès l’annonce de ce transfert de Valbuena, certains se sont indignés d’un choix uniquement pour l’argent. Néanmoins l’ancien dirigeant olympien a voulu nuancer cet aspect financier : « Il a aussi besoin de penser à son avenir, et qu’on le veuille ou non, quand on est footballeur, il faut accumuler un peu de gains. Quand il raccrochera, il sera content de trouver cet argent, s’il a la bonne idée de ne pas le dépenser, pour pouvoir s’assurer des jours tranquilles. Il y a une logique dans tout ça : les joueurs qui font toute leur carrière dans un seul club, c’est qu’ils ont la trouille d’aller voir ailleurs. »

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