Mercato - OM : Inter Milan, Milan AC… Ce qui pose problème aux clubs italiens dans le dossier Gignac
La rédaction

Alors qu’André-Pierre Gignac est annoncé partant de l’OM l’été prochain, l’attaquant marseillais dispose de plusieurs touches. Mais l’international français est encore loin d’avoir trouvé un club…

Arrivé à l’Olympique de Marseille à l’été 2010 après trois saisons à Toulouse contre un chèque de près de 18M€, André-Pierre Gignac n’a pas toujours fait l’unanimité au stade Vélodrome. Mais les performances et le rendement de l’attaquant de 29 ans depuis quelques mois ont rapidement fait taire ses détracteurs. S’il porte l’OM sur ses épaules cette saison, l’international français (21 sélections, 5 buts) devrait toutefois quitter Marseille l’été prochain, lui qui arrive en fin de contrat.

LE SALAIRE DE GIGNAC TROP IMPOSANT POUR LES CLUBS ITALIENS ?

Alors que son agent Jean-Christophe Cano s’active en coulisses pour lui trouver un club, le journal Le Parisien a fait le point ce vendredi sur les pistes dont Gignac dispose en Italie, où l’Inter Milan, le Milan AC, la Lazio Rome, Naples et la Fiorentina étudieraient son cas. Problème : les émoluments du buteur français, jugés trop importants pour un Calcio en pleine crise économique depuis plusieurs saisons. « Chiches en indemnités de transfert, certains clubs italiens (Inter, AC Milan, Fiorentina) ont l’avantage d’offrir de généreuses primes à la signature. Mais le salaire de Gignac (près de 350 000€ bruts) est tout de même conséquent, et le buteur de 29 ans ne fera aucune concession sur ce plan. Selon plusieurs sources, on ne se bouscule pas vraiment pour APG », indique ainsi Le Parisien dans ses colonnes.

MARCELO BIELSA : « J’ADMIRE GIGNAC »

Pour rappel, Marcelo Bielsa avait récemment clamé son admiration pour André-Pierre Gignac, après la défaite de l’OM à Nice (1-2). « On ne peut pas perdre de vue qu'il assume avec beaucoup de générosité une position qui n'était pas idéale pour lui et à laquelle il savait qu'il allait moins bien jouer. Il l'a assumé d'une manière propre aux leaders qui ne sont pas intéressés par ce qui est important pour eux, mais préfèrent répondre aux nécessités du collectif. C'est pourquoi j'admire Gignac », avait-il déclaré.

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