Mercato - OM : «Rolando et De Ceglie ? Andonian et Sparagna n’ont rien à leur envier !»
La rédaction

Depuis quelques jours, Rolando et Paolo De Ceglie sont au cœur des critiques. Certains conseillent d’ailleurs à Michel de faire confiance à deux espoirs de l’OM.

« Le frère de Dalida (Rolando, en référence à Orlando, ndlr), il ne faut plus qu’il joue au football ! », avait lâché Jean-Michel Larqué après la défaite de l’OM face au Slovan Liberec. Décevant en Europa League, Rolando l'a également été face au PSG. Le Portugais qui a été pointé du doigt tout comme Paolo De Ceglie lors de cette rencontre. Des performances décevantes qui pourraient d'ailleurs les pousser sur le banc au profit de Gaël Andonian ou Stéphane Sparagna.

« Ils peuvent prendre leur place ou les concurrencer »

Ancien joueur de l’OM, Larry Azouni a affronté son club, ce vendredi avec Nîmes. Une rencontre lors de laquelle il a pu se faire une envie sur la paire Rolando-De Ceglie. Et selon lui, Andonian et Sparagna auraient leur chance, comme il l'a confié au Phocéen : « Rolando et De Ceglie ? A leur décharge, c'est un peu tôt pour les juger, physiquement, ils ne sont peut-être pas à 100%. Après, quand je connais les qualités de Gaël Andonian ou Stéphane Sparagna, je me dis qu'ils n'ont rien à leur envier. A tout moment dans l'année, ils peuvent prendre leur place ou au moins les concurrencer. Mais ils ne sont peut-être pas à 100% il faut leur laisser du temps ».

« De grosses lacunes »

Il y a quelques jours, Bernard Casoni avait lui aussi livré son avis sur Rolando et Paolo De Ceglie : « Défensivement, il y a de grosses lacunes avec Rolando et De Ceglie, surtout Rolando. En même temps, le garçon n'a quasiment pas joué l'an dernier... Mais si on fait jouer des joueurs qui n'ont rien fait depuis longtemps, il ne faut pas attendre de miracles, comme avec Isla, qui est titulaire en sélection, mais qui ne l'était pas en Angleterre. Ok, ils ont peut-être été bons, ils étaient dans de grands clubs, mais ils ne jouaient pas ! Regardez Rolando, il joue à cinq mètres des attaquants, ce n'est pas possible. Dès que les Parisiens le provoquaient, il était en difficulté ».

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