Récemment, Marco Verratti a prolongé son contrat avec le PSG jusqu’en 2019. Une tendance qui n'empêcherait pas certains prétendants, dont Arsenal et Manchester United, de continuer à rêver du milieu de terrain italien.
« Quand je pense à ma carrière, je ne l’envisage qu’au Paris Saint-Germain. Je veux continuer à gagner des trophées avec ce club, tout en poursuivant ma progression auprès de très grands joueurs. Paris est magique ! » a déclaré Marco Verratti lors de sa prolongation de contrat. Néanmoins, si le joueur a clamé son evie de rester au PSG, un départ serait toujours dans les petits papiers des grosses écuries de Premier League.
ARSENAL ET MANCHESTER UNITED TOUJOURS DANS LE COUP ?
Elément indispensable du milieu de terrain du PSG, le jeune italien été courtisé par de nombreux clubs. Le Real Madrid souhaitait notamment s’attacher ses services, mais le club espagnol n’y est pas parvenu. Pour éloigner les courtisans, le club français a donc choisi de prolonger son milieu de terrain. Toutefois, malgré la prolongation de contrat, pour les cinq prochaines années, de Marco Verratti, cela n’aurait pas enterré les espoirs d’Arsenal et Manchester United comme l’indique talkSPORT. Les deux clubs anglais à a recherche de milieux de terrain pourraient donc se rensigner, dans les prochaines semaines, concernant un éventuel transfert.
« AUCUNE CHANCE DE LE VOIR REVENIR EN ITALIE »
Si Marco Verratti aurait donc des chances de découvrir la Premier League, en revanche, un retour en Italie est à écarter. Après sa prolongation de contrat de l’Italien, son agent, Donato Di Campli avait fait quelques révélations : « Nous sommes très heureux de la prolongation. C’était dans l'air depuis un certain temps et hier, nous avons concrétisé le tout. Le PSG a compris que Marco était important pour eux. Un retour en Italie ? A l’heure actuelle, il n'y a aucune chance de le voir revenir en SerieA, en particulier en ce qui concerne l'aspect économique. Pendant l'été, personne en Italie ne m'a appelé pour Marco car personne n'a les moyens financiers de l'acheter. Malheureusement, notre championnat paye les choix de ses dirigeants ».