Mercato - PSG : Ce club qui en pincerait toujours pour Lavezzi…
La rédaction

Apparu particulièrement en forme lors de la victoire du PSG face au LOSC (6-1), Ezequiel Lavezzi aurait ravivé l’intérêt de l’un de ses grands prétendants, l’Inter Milan.

Alors que son manque d’efficacité devant le but lui a longtemps été reproché, Ezequiel Lavezzi a fait taire les critiques samedi sur la pelouse du Parc des Princes où il a inscrit un triplé lors du large succès du PSG face au LOSC (6-1). Auteur d’une excellente prestation, l’international argentin aurait convaincu les dirigeants de l’Inter Milan de tenter leur chance dès l’ouverture du prochain mercato estival. C’est en tout cas ce qu’avance le média transalpin CalcioMercato ce dimanche.

UNE OFFENSIVE A VENIR CET ETE ?

Critiqué depuis son arrivée dans le club de la Capitale, Ezequiel Lavezzi pourrait-il envisager de plier bagages cet été ? Sous contrat jusqu’en juin 2016, l’ancien Napolitain ne serait pas contre de poursuivre son aventure au PSG, mais il attendrait surtout des garanties de temps de jeu. Des espérances qui n’ont jusqu’ici pas été entendues par les décideurs franciliens. Pour CalcioMercato, l’Inter Milan envisagerait de passer à l’offensive d’ici cet été, période où le joueur ne disposera plus qu’une seule année sur son contrat.

« IL AIME BEAUCOUP L’ITALIE »

Et alors que Roberto Mancini aurait fait de Yaya Touré sa cible prioritaire, le média italien croit savoir que l’Inter Milan pourrait finalement poser tous ses pions sur le dossier Ezequiel Lavezzi… Alors, El Pocho va-t-il répondre favorablement aux sirènes des Nerazzurri ? La mère de l’Argentin s’est en tout cas récemment confié sur un éventuel retour en Italie de son fils. « Il aime beaucoup l'Italie, il y était adoré. Et il parle très bien l'italien. Je pense que son arrivée à Paris a été un peu dure, mais j'ai l'impression qu'il s'est bien adapté (…) J'ai surpris une conversation où il semblait dire qu'il ne souhaitait pas y retourner. Il veut avancer dans le football, continuer à progresser », avait-elle déclaré. Affaire à suivre.

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