Mercato - PSG : Du nouveau pour Al-Khelaïfi avec le fair-play financier ?
La rédaction

Alors que le PSG a subi de plein fouet les restrictions du fair-play financier, Nasser Al-Khelaïfi a rendez-vous le 3 décembre prochain avec les responsables du FPF. Une réunion qui pourrait débloquer pas mal de dossiers pour le PSG.

Le PSG interdit de dépenser plus de 60 millions d’euros, d’acheter plus d’un seul joueur par saison et encadré dans sa masse salariale, c’est peut-être terminé. En effet, le 13 octobre dernier, une table ronde était organisée en Suisse concernant le fair-play financier. Les dirigeants de clubs européens devraient remettre ça le 3 décembre prochain.

LE PSG POURRAIT RETROUVER CERTAINES LIBERTÉS

Comme l’indique Le Parisien, les clubs du PSG et de Manchester City, qui sont les deux plus grandes victimes de ce nouveau système de contrôle, vont avoir l’occasion de rediscuter de tout ce qui leur a été imposé après leur bonne conduite. Ainsi, le quotidien indique que le PSG pourrait retrouver certaines libertés sur le marché des transferts et concernant sa masse salariale. Le rendez-vous est fixé et Nasser Al-Khelaïfi va devoir préparer son discours afin de trouver le meilleur arrangement possible pour son club...

« LE FPF INTERDIT LE RECOURS À LA POCHE DE L’ACTIONNAIRE »

Il y a une semaine, on apprenait que 35 supporters du club attaquaient l’UEFA en justice concernant ledit fair-play financier. Interrogé par le quotidien 20 Minutes, Maître Jean-Louis Dupont, avocat chargé de défendre les intérêts du PSG et de ses supporters dans le cadre de cette affaire, s’était exprimé sur la démarche entreprise par les supporters : « Ce sont les consommateurs du produit football. Or le "FPF" consiste à interdire une source d'investissement, à savoir la poche du propriétaire. Donc, cela oblige les clubs à aller un peu plus dans la poche du supporter, qui va payer plus cher un produit dont la qualité diminue », expliquait l'avocat. En clair, les supporters en ont marre de payer des places de stade et des produits dérivés plus cher qu’auparavant.

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