Alors que le PSG rêverait toujours d’attirer un entraîneur de calibre international comme José Mourinho ou encore Diego Simeone, un élément jouerait clairement en défaveur des investisseurs qataris : le fair-play financier.
À l’été 2013, suite au départ de Carlo Ancelotti, le PSG aurait pisté plusieurs pointures européennes (Arsène Wenger, José Mourinho, Fabio Capello…), mais faute de disponibilité, le club de la capitale a finalement nommé Laurent Blanc. Un pari gagnant sur le court terme, mais l’histoire avec l’ancien Bordelais pourrait prendre fin en juin prochain. Le moment idéal pour attirer un entraîneur de renommée internationale ?
LE FAIR-PLAY FINANCIER GÂCHE TOUT
France Football fait le point à ce sujet ce mardi, et explique que cette mission fixée par les propriétaires qataris du PSG pourrait être compliquée par le fair-play financier : « Venue de Doha, l’envie récurrente de ferrer un entraîneur haut de gamme et au pedigree international (Guardiola, Mourinho, Simeone…) revient souvent dans le microcosme et bien évidemment aux oreilles de Blanc (…) Il serait délicat de convaincre un poids lourd des bancs avec les restrictions imposées par le fair-play financier en matière de recrutement », précise l’article de l’hebdomadaire.
« BLANC PAS RECONNU À SA JUSTE VALEUR »
Jean-Pierre Bernès, l’agent de Laurent Blanc, monte au créneau pour l’avenir du technicien du PSG : « Le futur de Laurent est au PSG où il possède un contrat jusqu’en 2016. Je ne comprends toujours pas pourquoi on le remet aussi souvent en cause ! Laurent a eu droit à un traitement excessif, dans le sens négatif, jusqu’à cette qualification maîtrisée face à Chelsea. La qualité de son travail et son bilan demeurent pourtant exceptionnels ! J’ai les yeux ouverts avec lui, mais Laurent n’est pas reconnu à sa juste valeur ».