Mercato - Real Madrid : Direction l’Italie pour un cadre du vestiaire madrilène ?
La rédaction

Présent au Real Madrid depuis 2009, Alvaro Arbeloa n’est aujourd’hui plus un titulaire indiscutable au sein de la Casa Blanca. De quoi envisager un départ ?

Présent au Real Madrid depuis l’été 2009 après deux saisons passées du côté de Liverpool contre un chèque d’environ 6M€, Alvaro Arbeloa (31 ans) a longtemps été un titulaire indiscutable de la défense du club merengue. Du moins jusqu’à cette saison et le retour au bercail de Dani Carvajal, qui est venu concurrencer le natif de Salamanque au poste d’arrière droit. Une situation qui pourrait pousser l’international espagnol (57 sélections, non retenu parmi les 23 Espagnols pour cette Coupe du monde) à quitter le Real Madrid cet été.

ARBELOA PRÊT À REJOINDRE BENITEZ À NAPLES ?

Sous contrat jusqu’en juin 2016 avec la Casa Blanca, Alvaro Arbeloa pourrait s’engager dans les prochaines semaines avec Naples, dirigé par l’entraîneur espagnol Rafael Benitez, qui l’a déjà eu sous ses ordres à Liverpool (2007-2009). Se sentant encore la force d’être titulaire dans un grand club européen, Arbeloa pourrait rejoindre à Naples ses anciens coéquipiers Raul Albiol, José Callejon et Gonzalo Higuain, selon Mundo Deportivo.

QUAND ARBELOA DÉCRYPTAIT LA MÉTHODE MOURINHO

Pour rappel, Alvaro Arbeloa avait notamment fait parler de lui récemment par une interview dans laquelle il avait décrypté le passage controversé de José Mourinho à la tête du Real Madrid. « Nous nous sommes rendus compte de qui était Mourinho un jour de pré-saison, a-t-il déclaré dans la revue Jotdown. Les Espagnols, nous venions d’être champions du monde et nous avons rejoint les autres à Los Angeles. Nous avons joué un match contre le Galaxy et nous étions menés 2-0 à la mi-temps. Des cris sont sortis de sa bouche. Il n’en a épargné aucun. Nous avons appris très vite qui était Mourinho. Tu n’imagines pas Pellegrini crier comme ça sur Cristiano. Nous nous souvenons tous de cette intervention. Il a dit : « Vous ne voulez pas courir ? Pas de problème pour moi : banc. Toi non plus ? Pas de problème : tu sors », avait-il confié.

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