PSG : Pierre Ménès évoque le titre de champion qui attend Paris !
La rédaction

Une nouvelle fois impressionnant dimanche soir face à Monaco, le PSG semble bien parti pour un quatrième titre d’affilée…

Douze points sur douze possibles, aucun but encaissé en quatre rencontres et une facilité à en dégouter ses concurrents, le Paris Saint-Germain effectue cette saison un départ tonitruant, le meilleur dans l’ère qatarie. Si le championnat est encore très long, beaucoup pensent que les Parisiens seront champions très tôt dans la saison, comme Pierre Ménès.

« L’AFFAIRE POURRAIT ÊTRE PLIÉE CET HIVER »

En infligeant une véritable correction à Monaco dimanche soir (0-3), le PSG a adressé un nouvel énorme coup de massue sur la tête de ses potentiels concurrents. Impressionnants sur le plan collectif et technique, il paraît toujours plus inenvisageable de ne pas voir les Parisiens soulever « Hexagoal » à la fin de la saison. Tant la domination est grande, certains envisagent même qu’ils le feront bien avant, comme Pierre Ménès, journaliste à Canal + : « Le PSG a une marge de manoeuvre abyssale en Ligue 1. Avec douze points et aucun but encaissé en ayant joué trois matchs sur quatre à l’extérieur, Paris sera cette année encore - et ce n’est une surprise pour personne - champion de France. Pour la énième fois, c’est évidemment la moindre des choses. Mais parti comme c’est, l’affaire pourrait être pliée à la trêve hivernale… »

« ON EST BEAUCOUP PLUS DÉTERMINÉ »

Interrogé en conférence de presse après la balade de son équipe au Stade Louis II, Laurent Blanc s’est exprimé sur ce début de saison tout simplement parfait : « En ce début de saison, on est beaucoup plus déterminé et concentré. Cela se ressent sur le jeu, sur le bloc équipe. Les points pris ne sont plus à prendre. On l'a bien vu la saison dernière, même si on est resté très longtemps invaincu. Mais quand on fait des nuls, on perd deux points. Et quand il y a déficit de points à la trêve ou en avril, il faut rattraper ces points avec, en plus, d'autres objectifs, européens, en même temps. On savait que le mois d'août était compliqué, avec trois déplacements. On savait aussi qu'il serait plus simple à gérer avec un match par semaine. »

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