Manu Petit Meme ma mamie ne voudrait pas de son mantea
La rédaction

Le temps d'un déjeuner, nous avons voulu vérifier si la jolie journaliste Louise Ekland, originaire de Liverpool, pouvait nous rendre ?red? dingue... On n'est pas déçu.

Venir en France pour parler de foot, lorsqu’on est née à Liverpool, c’est un peu sado-maso, non ?
Je viens d’une famille super passionnée, j’allais voir tous les matchs à Anfield avec mon grand père, jusqu’à l’âge de 16 ans. En France, le foot n’est pas fait pour les gosses, c’est le soir tard, alors qu’en Angleterre, les matchs ont lieu l’après-midi. C’est parfait le dimanche. Mais c’est vrai que quand tu découvres le football à Liverpool, forcément, quand tu vas autre part, tu es déçu ! Et puis quand on avait pas de place pour le match, on allait le voir au Pub.

Pourquoi supporter Liverpool, et pas Everton ?
Je ne sais pas. Je n’ai jamais demandé à mon grand-père et maintenant, c’est trop tard… Mais ce que je peux vous dire, c’est que nous les « Toffees » (petit caramel et surnom des joueurs d’Everton), on en achetait pour les bouffer. C’est symbolique…

Comment es-tu arrivée en France ?
Pour jouer la comédie musicale « Emilie jolie » mais je me suis blessée : rupture des ligaments…

Et Manu Petit, il est comment dans la vraie vie ?
Manu est juste trop cool. Bon, il porte des vestes en croco et les chaussures qui vont avec. Il dit que ça fait Anglais, mais je refuse ! On le chambre souvent sur ses fringues. J’ai même essayé de vendre son manteau à l’antenne. Un manteau, mais même ma grand-mère n’en aurait pas voulu.

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