Une surprise de Galthié lâche un aveu sur le XV de France
Benjamin Labrousse

Ce samedi, c’est un XV de France remanié qui s’imposait assez largement face aux îles Fidji (34-17). Habituellement menée par le duo Antoine Dupont-Romain Ntamack à la mêlée et à l’ouverture, l’équipe de Fabien Galthié a pu compter sur un tandem Antoine Hastoy-Maxime Lucu très intéressant. Le numéro 9 de l’UBB s’est d’ailleurs livré sur le groupe français, à désormais quelques semaines de la Coupe du monde.

Il y a quelques jours, le journal l’Équipe révélait que pour la rencontre face aux Fidji ce samedi, Maxime Lucu allait débuter la rencontre au poste de 9. Une pression pour le demi de mêlée de l’UBB, alors que cette place est habituellement occupée par un certain Antoine Dupont. « Oui, porter le numéro 9 de l'équipe de France est forcément une fierté. Avoir l'opportunité, après six semaines de préparation, de débuter un match, c'est toujours bien. Je suis content de pouvoir avoir cette optique », déclarait un Maxime Lucu optimiste auprès du quotidien sportif.

« Oui, on sent une montée en puissance »

Auteur d’un bon match ce samedi à Nantes, Maxime Lucu affirme que l’équipe de Fabien Galthié prend de l’ampleur avant la Coupe du monde. « Oui, on sent une montée en puissance. C'était déjà le cas au match précédent (victoire 30-27 contre l'Écosse) même si on l'avait pas fait quatre-vingts minutes. Durant la semaine d'entraînement, on sentait aussi qu'on était de mieux en mieux même s'il y a bien sûr énormément de choses à corriger. Nous sommes dans le vrai. Physiquement, tout a été calculé pour avoir le rebond. Le but n'était pas d'être prêt fin juillet - début août mais pour le match d'ouverture », déclare le joueur de 30 ans dans des propos relayés par l’Équipe.

« Comment ça va être le 8 septembre contre la Nouvelle-Zélande »

Après des matchs à Saint-Étienne, puis ce samedi à Nantes, Maxime Lucu espère être de la partie pour la Coupe du monde, où l’ambiance devrait être sensationnelle selon le 9 de l’UBB. « Quand on voit l'engouement à Saint-Étienne et à Nantes, on se demande comment ça va être le 8 septembre contre la Nouvelle-Zélande. Maintenant, on a envie de passer au vif du sujet ».

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