PSG : Un «vrai numéro 9» est attendu à Paris
Arthur Montagne -
Journaliste
Affamé de sport, il a grandi au son des moteurs de Formule 1 et des exploits de Ronaldinho. Aujourd’hui, diplomé d'un Master de journalisme de sport, il ne rate plus un Grand Prix de F1 ni un match du PSG, ses deux passions et spécialités

Resté sur le banc contre le Borussia Dortmund malgré son excellente forme, Gonçalo Ramos attend son heure. Sa titularisation mardi soir pour le match retour est très attendue afin d’offrir plus de présence dans la surface du PSG. Gregory Paisley espère notamment que l’attaquant portugais sera aligné à la pointe de l’attaque parisienne aux côtés d’Ousmane Dembélé et Kylian Mbappé.

Après la défaite du PSG contre le Borussia Dortmund, les choix de Luis Enrique ont une nouvelle fois été commentés. Le principal concernait l’absence de Gonçalo Ramos dans le onze de départ et surtout l’entrée en jeu de Randal Kolo Muani plutôt que l’international portugais, finalement resté sur le banc durant tout le match. Pour le retour, Grégory Paisley espère bien que Gonçalo Ramos sera bien titulaire au coup d’envoi.

Paisley réclame Ramos

« Encore une fois, c'est une histoire de choix. Recentrer Dembélé pour les empêcher de repartir via Emre Can, ça se tient. Après, une fois que tu récupérais le ballon, c'est sûr qu'il était un peu trop axial. Mais à droite, tu avais Hakimi qui, lui, a eu le champ libre à de nombreuses reprises. Le problème, c'est qu'individuellement, on n'a pas été au top techniquement par rapport à d'habitude », assure l’ancien latéral du PSG dans une interview accordée à CulturePSG, avant de poursuivre.

«Un vrai numéro neuf comme Ramos»

« Il y a eu beaucoup de déchet et de mauvais choix. À partir de là, c'est compliqué. Parce que les espaces, il les a exploités Hakimi. Sauf qu'à la sortie, il n'a quasiment jamais trouvé preneur. Pour moi, c'est un tout. Et ça va inclure aussi le fait qu'il n'y ait pas un véritable avant-centre sur le terrain à Paris. Un vrai numéro neuf comme Ramos. Quand tu as des situations de débordement et que tu as l'impression qu'il n'y a personne dans la surface, c'est problématique », ajoute Gregory Paisley.

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