Le FC Nantes reçoit déjà une candidature pour remplacer Kombouaré !
Arthur Montagne -
Journaliste
Affamé de sport, il a grandi au son des moteurs de Formule 1 et des exploits de Ronaldinho. Aujourd’hui, diplomé d'un Master de journalisme de sport, il ne rate plus un Grand Prix de F1 ni un match du PSG, ses deux passions et spécialités

Après un début d'année 2024 décevant, le FC Nantes a décidé de se séparer de Jocelyn Gourvennec et c'est Antoine Kombouaré qui a été nommé dans la foulée. Le Kanak fait donc son retour sur le banc des Canaris moins d'un an après son départ. Cependant, Emerse Faé n'écarte pas l'idée de s'asseoir sur le banc nantais.

La saison du FC Nantes pourrait tourner au fiasco. Mais afin d'éviter la relégation, Waldemar Kita a décidé de se séparer de Jocelyn Gourvennec, pourtant nommé en cours de saison pour remplacer Pierre Aristouy. Mais la situation devenait trop instable puisque les Canaris sont seizièmes de Ligue 1. Pour le remplacer, Antoine Kombouaré a fait son retour au FC Nantes moins d'un an après son départ. Mais un entraîneur se positionne déjà pour le remplacer. En effet, né à Nantes et formé chez les Canaris, Emerse Faé se verrait bien revenir un jour.

Faé ouvre la porte au FC Nantes

« Je suis encore jeune, donc je ne peux pas me fermer les portes. Aujourd’hui, je suis pleinement concentré sur la sélection, je veux réaliser encore de grandes choses. Bien sûr qu’en tant que Nantais, ce serait envisageable un jour d’être entraîneur du FC Nantes, mais pour le moment, je n’y pense pas du tout », lâche le sélectionneur de la Côte d'Ivoire dans une interview accordée à So Foot, avant d'évoquer son nouveau statut depuis la victoire finale lors de la dernière CAN.

«En tant que Nantais, ce serait envisageable un jour d’être entraîneur du FC Nantes»

« Bien sûr que je sens que tout est différent. Je prends beaucoup de photos, on me reconnaît et on me remercie beaucoup pour les émotions et le pays. Je ne me sens pas comme un héros, j’ai juste fait mon travail, et ma plus grande réussite, c’est d’avoir permis aux Ivoiriens d’être fiers d’être ivoirien », ajoute Emerse Faé.

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