Le PSG a réalisé le rêve d’un attaquant sur le mercato
Arthur Montagne -
Journaliste
Affamé de sport, il a grandi au son des moteurs de Formule 1 et des exploits de Ronaldinho. Aujourd’hui, diplomé d'un Master de journalisme de sport, il ne rate plus un Grand Prix de F1 ni un match du PSG, ses deux passions et spécialités

Arrivé en toute fin de mercato au PSG, Randal Kolo Muani peine à s’imposer à Paris et ses prestations sont souvent pointées du doigt. Malgré tout, l’ancien Nantais ne regrette pas son transfert, bien au contraire, il assure même avoir réalisé son rêve en rejoignant le PSG qui a déboursé 90M€ pour son transfert.

Lors du précédent mercato estival, le PSG n’a pas chômé pour renforcer son secteur offensif. C’est ainsi que dans les derniers instants du marché des transferts, Randal Kolo Muani a débarqué pour quasiment 90M€ en provenance de l’Eintracht Francfort. L’international français, qui s’était notamment mis en valeur lors de la finale de la dernière Coupe du monde, a toutefois du mal à s’imposer au sein du club de la capitale depuis son arrivée. Ses prestations sont régulièrement pointées du doigt, mais cela n’empêche pas Randal Kolo Muani d’affirmer qu’il a réalisé son rêve en signant au PSG.

Kolo Muani a réalisé son rêve au PSG

« Pour moi c’est juste un rêve de signer ici et de jouer pour ce club. Maintenant c’est à moi de prouver et de continuer à progresser et marquer des buts (…) Luis Enrique me demande souvent d’être en mouvement, d’être dos au but. Du coup, c’est à moi de progresser aussi d’être dans la surface et être le plus mobile et finir les actions », assure le numéro 23 du PSG dans une interview accordée à Telefoot, avant de revenir sur son but contre l’OM au Parc des Princes.

«C’est mon club de cœur»

« C’était un bonheur de marquer surtout au Parc des Princes. Ça m’a fait du bien à ce moment. Ça a vraiment changer ma tête, j’étais ailleurs, le fait d’arriver au PSG au dernier moments ça a pris du temps à redescendre. C’est mon club de cœur, la ou j’ai grandi, donc ce transfert était long à digérer », ajoute Randal Kolo Muani.

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