Mercato - PSG : Quand le clan Imbula pointe du doigt le dossier Rabiot…
La rédaction

L’entourage des deux jeunes joueurs formé au Paris Saint-Germain a été pointé du doigt, assurant qu’ils s’inquiétaient plus de l’argent que de l’aspect sportif de leur jeune carrière.

Adrien Rabiot et Kingsley Coman, deux cas diffèrent, un même visage. Le premier a récemment prolongé son contrat avec le Paris Saint-Germain jusqu’en 2019, mais pourrait quitter le club en prêt cet hiver, pour bénéficier de plus de temps de jeu. Le deuxième a lui fait le chois de s’expatrier et évolue depuis le début de la saison à la Juventus. Deux choix diffèrent, qui ont peut-être le même mobile : l’argent.

« SI LES PARENTS COMPRENNENT LE FOOT, ILS DOIVENT ÊTRE PATIENTS »

C’est cette démarche que pointe du doigt Willy Ndangi, père et agent de Giannelli Imbula, qui assure que l’entourage de ces deux joueurs a mal agit, en faisant passer l’argent avant l’aspect sportif. Il y a des gens qui veulent aller plus vite que leur ombre pour gagner plus. « Le père de Kingsley Coman réclamait 3M€ au PSG et je ne sais pas s’il a récupéré cette somme à la Juve. Je ne crois pas, même si je pense qu’il a eu plus que ce que lui proposait Paris » a-t-il expliqué dans une longue interview accordée à l’Équipe. « J’ai lu que le petit pourrait être prêté dans un club de Serie A de bas de tableau pour s’aguerrir. Il aurait peut-être eu sa chance au PSG. Si les parents comprennent le football, ils doivent être patients ».

« VÉRONIQUE RABIOT ? FAUT QU’ELLE LAISSE SON FILS JOUER AU BALLON ! »

Sur le cas Rabiot, l’agent d’Imbula a été plus clément, saluant la décision finale du joueur de finalement prolonger au Paris Saint-Germain. Pourtant il n’a pas manqué d’égratigner Véronique Rabiot, agent et mère du jeune milieu de terrain, qui a longtemps laissé planer le doute concernant l’avenir de son fils. « Le clan Rabiot? Ils ont choisi la meilleure solution en prolongeant au PSG, mais ils pouvaient aussi discuter pendant quarante-huit heures, il y a six mois, et trouver le même accord. Le problème pour elle (Véronique Rabiot), c’est qu’elle n’est pas préparée à ça. J’ai vu qu’elle avait même reçu des conseils de M. Larqué… » a confié Willy Ndangi. « Il faut qu’elle bouquine, qu’elle fasse un cursus de droit du sport. Et qu’elle laisse son fils jouer au ballon ! Le petit, il a du talent. L’été, dernier, elle voulait le mettre dans un club où il y a six ou sept joueurs à son poste (la Roma, ndlr). Moi, je vois ça, je fuis. La vérité dans cette histoire, c’est l’argent. C’est toujours l’argent ».

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