Le Real Madrid dit non à Mbappé, le gouvernement Macron rêve d’un coup de tonnerre !
Bernard Colas -
Journaliste
Passionné de sport, de cinéma et de télévision (à l’écran comme derrière) depuis son enfance, Bernard est journaliste pour le 10 Sport depuis 2018. Plus habile clavier en main que ballon au pied, il décide de couvrir principalement un sport adulé, critiqué et détesté à la fois (le football) et un sport qui n’en est pas un (le catch).

Alors qu’il rêve de participer aux Jeux olympiques de Paris, Kylian Mbappé ne devrait pas être autorisé par le Real Madrid à rater le début de saison. La formation merengue a en effet informé la FFF qu’elle ne libérerait pas ses joueurs tricolores pour l’événement se déroulant dans la capitale. Ce qui n’empêche pas la ministre des Sports, Amélie Oudéa-Castéra, de rêver d’un retournement de situation. 

Les Jeux olympiques de Paris s’éloignent pour Kylian Mbappé. Attendu au Real Madrid une fois son aventure au PSG terminée, l’international tricolore ne devrait pas être autorisé par son prochain club à réaliser son rêve. Les dirigeants espagnols ont en effet informé la FFF que ses joueurs tricolores ne seront pas libérés pour disputer les JO cet été, une décision qui devrait a priori également concerner Kylian Mbappé. Mais de son côté, la ministre des Sports Amélie Oudéa-Castéra n’abdique pas. 

« J'ai envie de rêver et d'y croire jusqu'au bout »

Dans des propos relayés ce lundi par RMC, Amélie Oudéa-Castéra a de nouveau affiché son envie de voir Kylian Mbappé figurer sur la liste de Thierry Henry cet été pour le tournoi olympique de football. « J'ai envie de rêver et d'y croire jusqu'au bout », a indiqué la ministre des Sports. 

Henry n’abandonne pas non plus 

Présent en conférence de presse ce lundi après-midi, Thierry Henry a lui aussi fait preuve de détermination. « Je m’en doutais. Les clubs à l’étranger n’ont pas la même situation que nous en France. Les clubs français vont être là pour aider, mais pour les clubs étrangers, c’est normal qu’il y ait ce non, a répondu le sélectionneur des Espoirs. Je ne me suis jamais arrêté au premier non. On va voir ce qu’on peut faire. On va essayer de voir si on peut discuter, si on peut être reçu… Ce n’est pas évident. Ce n’est pas être défaitiste, mais la décision appartient tout de même aux clubs ».

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