Ce flop du PSG a une nouvelle passion étonnante
Axel Cornic

Véritable exemple d’un talent pas totalement accompli, avec notamment un passage décevant au Paris Saint-Germain, Hatem Ben Arfa n’a plus de club depuis le 1er juillet 2022 et son départ du LOSC. A 36 ans il n’a pas encore annoncé sa retraite, mais le football ne semble pas lui manquer, puisqu’il a trouvé un tout nouveau sport pour s’exprimer.

Ce mardi, le PSG va accueillir Newcastle au Parc des Princes et on aurait bien pu voir un ancien des deux clubs dans les tribunes. Il s’agit d’Hatem Ben Arfa, qui a plus brillé chez les Magpies qu’à Paris et qui a totalement disparu de la circulation depuis plus d’un an.

« Hatem ne fait plus que ça »

Le Parisien est parti sur ses traces et a découvert que l’enfant terrible de la génération 1987 s’est adonné à une nouvelle passion : le padel. « Hatem ne fait plus que ça. Il joue tous les jours ou presque » a confié Roland Mermillod, juge-arbitre qui a croisé l’ancien du PSG sur les courts. « Il rigole un peu. Il met une bonne ambiance sur le terrain. Ça fait plaisir de l’avoir comme joueur. Ce n’est pas du tout une tête de con. Il vient pour le plaisir. Les gens sont contents de jouer contre lui ».

Il affronte Jallet ou Hanouna

« On le voit 3 à 4 fois par semaine. On lui demande souvent des selfies. Les jeunes le reconnaissent plus facilement qu’un Sylvain Wiltord qui vient jouer aussi » a confié de son côté Hugo Combe, le responsable du 4Padel de Montreuil que fréquente Hatem Ben Arfa, en compagnie notamment de Cyril Hanouna ou encore Christophe Jallet, un autre ancien du PSG.

« On sent qu’il n’a pas le vécu d’un joueur de tennis plus à l’aise raquette en main, mais... »

Et cette nouvelle passion semble avoir réveillé un esprit de compétiteur qui semblait avoir disparu sur ses dernières années de footballeur. « Hatem a beaucoup progressé. Au début, il ne savait pas volleyer. On sent qu’il n’a pas le vécu d’un joueur de tennis plus à l’aise raquette en main, mais celui d’un sportif professionnel » a analysé Roland Mermillod. « Il est très bon dans la lecture du jeu, la capacité à répéter les efforts, à changer de direction rapidement. Comme quand il dribblait ».

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