Alors que Laurent Blanc est aujourd’hui sous pression suite aux résultats irréguliers du PSG, l’entraîneur parisien serait déçu de la gestion du club sur certains dossiers.
Et l’on reparle du manque de cohérence dans la politique sportive et économique du Paris Saint-Germain… Si plusieurs explications ont été avancées ces derniers temps à l’heure d’évoquer le déclin du PSG par rapport à la saison dernière, l’absence d’un directeur sportif d’envergure suite au départ de Leonardo refait surface aujourd’hui. La raison ? La mauvaise gestion de deux dossiers en particulier, ce qui aurait passablement déçu l’entraîneur Laurent Blanc.
KINGSLEY COMAN, LE DÉPART QUI N’A PAS PLU À LAURENT BLANC…
Ainsi, à en croire les informations du Parisien ce mercredi, Laurent Blanc aurait été « fortement agacé » de la gestion du cas Kingsley. Grand espoir du club parisien et du football français, l’attaquant est parti gratuitement à la Juventus Turin l’été dernier, alors que le secteur offensif parisien est rapidement dépeuplé dès lors que Zlatan Ibrahimovic ou Edinson Cavani manquent à l’appel, ce qui est arrivé plus d’une fois cette saison… Son départ n’a ainsi pas plu du tout au « Président », qui se retrouve bien souvent démuni.
LA GESTION DU CAS RABIOT FUSTIGÉE
Autre cas explicite : celui d’Adrien Rabiot, dont l’entourage a fait le forcing pour quitter le club l’été dernier, avant que ce dernier ne prolonge finalement son contrat récemment. « L’ex-coach de Bordeaux n’a pas non plus compris pourquoi on avait perdu autant de temps avec le dossier Rabiot, finalement réintégré en novembre. Alors qu’il veut conserver ce joueur dans son effectif, il se lasse désormais de le voir alimenter la chronique du mercato. Le joueur est perturbé, pas forcément concentré sur son football, et personne dans le club ne lui rappelle sa priorité, c’est-à-dire le PSG. Ses réflexions renvoient à la structure bancale de l’institution PSG, où il manque un directeur sportif depuis le départ de Leonardo », indique ainsi Le Parisien dans ses colonnes ce mercredi.